Cette première édition depuis les élections municipales de 2020, crise sanitaire oblige, était très attendue par la profession. En effet, comme souvent, le secteur du sport était bien représenté avec une quarantaine de sociétés issus de différents domaines (piscine, gazon synthétique, terrains multisports, aires de fitness, construction de terrains ou de gymnases…), une quinzaine de fédérations sportives, les associations et fédérations institutionnelles (FNOMS, Andes, Andiiss dont c’était la première participation) et, bien évidemment, le ministère des Sports et l’Agence Nationale du Sport. Ce fût l’occasion pour les professionnels de mettre en avant leurs nouveautés, ainsi qu’aux fédérations et institutions de transmettre des messages aux collectivités (élus et responsables de service) venus nombreux et de conclure ou renouveler des partenariats. Par exemple, ce fut le cas entre l’Andes et la Fédération française de Tennis qui ont renouvelé leur partenariat pour les trois ans à venir.
Conférences : des thématiques très variées
Tout au long des trois jours, de nombreux échanges ont eu lieu sur les différents stands, de manière informelle dans les années ou lors des conférences et tables-rondes. Au cours de ces dernières, divers sujets « de fond » furent abordés, parmi lesquels le sport santé, l’e-sport, les sports de nature, les nouvelles pratiques sportives urbaine, les équipements de proximité (notamment connectés), ou encore la gestion de la pandémie dans la dynamique de la nouvelle gouvernance du sport.
De même, plusieurs fédérations ont présenté leur activité à travers ces conférences, à l’image de la fédération française de handball avec son plan infrastructure terrains de hand extérieurs.
Par ailleurs, l’espace « Vis ta Ville Terrains de Sports » fut l’occasion de proposer diverses démonstrations sportives : basket 3x3, Cécifoot, basket fauteuil…
Une nouvelle édition réussie, avec de nombreuses thématiques abordées, divers projets avancés… le tout avec les JOP 2024 et son héritage en toile de fond !