L’Association professionnelle des entreprises pour la Protection des Jardins et des espaces publics (UPJ) regroupe 26 entreprises qui élaborent, fabriquent et commercialisent l’ensemble des solutions pour planter, nourrir et soigner les végétaux des jardins, espaces verts des collectivités et entreprises ainsi que protéger le particulier et son habitat contre les nuisibles. L’UPJ a pour rôle principal de représenter ses membres pour échanger avec les pouvoirs publics ainsi qu’avec l’ensemble des parties prenantes. Son rôle est également la diffusion d’une information juste, étayée et accessible visant à la meilleure utilisation des produits mis en marché par ses adhérents, dans un strict respect de la santé et de l’environnement.
Au cours de la dernière Assemblée Générale de l’
UPJ, Patricia Mora-Matel, directrice de Liphatech, a été réélue au poste de présidente de l’association. De leur côté, Hélène Brun (
Bayer Environmental Science), Yann Frayssinet (Frayssinet) et Laurent Morano (
Nufarm) ont été reconduits en tant qu’administrateurs. Enfin, Céline Le Guern (Syngenta) a fait son entrée au sein du Conseil d’Administration.
Missions
Pour ce nouveau mandat, l’UPJ est particulièrement attentive :
- à la rédaction de la définition du biocontrôle et des zones sensibles au niveau européen ;
- au périmètre encadrant les engrais de synthèse en lien avec la loi Climat et résilience ;
- aux évolutions du certibiocide ;
- au suivi de la loi AGEC et de ses impacts sur la mise en marché des produits de ses adhérents.
« Pour relever ces enjeux, nous devons sensibiliser les autorités à la singularité de nos métiers. Souvent les impacts des décisions prises par les autorités sur les usages en JEVI (Jardins, Espaces Végétalisés et Infrastructures) ne sont pas évalués parce que non agricoles. C’est la raison pour laquelle l’UPJ est présente pour porter ces dossiers et faire entendre la voix de ses membres » explique Patricia Mora-Matel. « Jusqu’à maintenant, nous avons prouvé qu’une interprofession forte et soudée est capable de valoriser auprès des instances officielles et également du grand public, les savoir-faire et la mise en marché responsable de ses adhérents. L’approche pédagogique des bonnes pratiques de lutte contre les nuisibles et de La Clinique Des Plantes en sont des belles illustrations » conclut-elle.