La présence d’hydrocarbures, de graisses incrustées, de rouille, d’algues ou bien encore de mousses obligent les professionnels à trouver une parade efficace. Ils n’ont pas d’autres choix que de s’orienter vers des dispositifs mécaniques, type brosses, et/ou chimiques.
Un panel chimique
Les solutions liquides sont classées en plusieurs catégories : nettoyants, dégraissants... La plupart se caractérise par un large spectre d’action. On parle de nettoyants multi-usages, qui enlèvent la saleté (mais aussi les laitances, les efflorescences, les traces de mortier...) incrustée sur tous les supports (béton, pierre naturelle...). Le tout, bien souvent, sans rinçage. D’autres produits possèdent une action plus ciblée suivant la nature des salissures ou des revêtements. On trouve ainsi des dérouillants. Il suffit de mouiller la tâche, de la recouvrir de produit et de brosser jusqu’à ce qu’elle soit dissoute.
Plus généralement, mieux vaut prévenir qu’agir une fois les tâches ou autres salissures constatées. D’ailleurs, de plus en plus de professionnels misent sur des agents protecteurs, garantis sans écaillements.
Un coup de brosse
Pour certains professionnels, appliquer un produit n’est pas nécessaire, notamment si le sol est recouvert des dernières générations de pierres, dotées d’une couche supérieure renforcée. Seule solution : brosser le pavage/dallage à l’eau avec une machine spécifique, telle que celle proposée par
Terrazza.
Elle nettoie de façon écologique.
Une opération à réaliser tous les 1 à 4 ans, suivie d’un post-traitement à base de savon noir, juste avant les saisons plus froides et humides.
Après, peu importe la méthode choisie, utiliser des brosses spécifiques et/ou des produits dans les règles et à la bonne dose, que ce soit en préventif ou en curatif, permet de conserver de belles surfaces.