A la veille de la Coupe du monde de Rugby et des JO Paris 2024, “Le salon apportera plus de visibilité à cette filière qui doit relever de nombreux défis qu’ils soient énergétiques ou environnementaux, mais aussi numériques, sanitaires (santé publique) sociaux et sociétaux (mixité, inclusivité) car le sport est un enjeu essentiel du quotidien” précise Stéphanie Gay-Torrente. Alors que les collectivités sont des acteurs majeurs tant au niveau des infrastructures sportives que des pratiques et animations (clubs, écoles...), les aménagements et équipements sportifs doivent s’adapter pour répondre aux besoins et aux possibilités de pratiques : chez soi, en club, dans la rue, à l’école, en entreprise. C’est dans ce contexte, argumente Stéphanie Gay-Torrente que “le Salon des Sports sera ouvert à toutes les pratiques, à tous les terrains, hors les murs et dans la rue, aux sports de nature et à l’e-sport”.
Le Salon des Sports ambitionne donc d’être un moment fort mobilisant, dans un cadre professionnel, tous les acteurs et partenaires. Une autre envergure du salon sera de présenter toutes les innovations dédiées au sport en matière d’aménagement, de matériaux, de conception et d’entretien des terrains de sport en englobant les défis actuels : recyclage/reémploi, économies (énergie, sol, eau). Une autre dimension de ce rendez-vous sera aussi d’aborder les enjeux en matière de personnels, de bénévoles, de formations. Et Stéphanie Gay-Torrente de conclure “notre ambition est de doubler le nombre d’exposants (de 80 à 160) en ouvrant la nomenclature du salon aux nouvelles pratiques, aux évènements sportifs... pour séduire un large public : les collectivités locales, les investisseurs, les clubs et associations, les organisateurs d’évènements sportifs, les entreprises, les promoteurs... pour ensemble relever les défis de cette transition et accompagner cette dynamique”.