Les terrains sportifs, les hippodromes et les golfs sont directement concernés par cette problématique, avec des consignes très claires selon le niveau d’alerte (voir tableau ci-contre). Le document précise notamment qu’en matière d’arrosage des terrains de sport, il revient à chaque fédération de sport de pelouse en activité sur le département concerné de partager en amont de la sécheresse le calendrier des compétitions auprès de sa Direction Départementale des Territoires (DDT).

Pour rappel, certaines espèces de gazon sportifs résistent à la sécheresse. De même, il existe des solutions pour maîtriser de manière simple ses consommations d’eau. 

 

Ces restrictions sont celles que chaque préfet doit prendre a minima dans son département. Mais rien n’empêche un représentant de l’État d’aller plus loin s’il estime que la situation l’exige.