Lutter contre les effets néfastes de cette activité
Certaines sociétés, comme récemment Amexbois (scierie française spécialisée dans la réalisation d’ouvrages sur-mesure en bois destinés aux entreprises de paysage, de travaux publics…) prennent conscience de l’ampleur des enjeux et adaptent leur activité pour mieux respecter l’environnement. Pour cette entreprise, c’est l’évaluation interne de sa responsabilité environnementale qui a mis en lumière l’impact de son activité. En écho à sa volonté d’engager une sérieuse politique de développement durable (déjà mis en œuvre grâce aux certifications PEFC et Bois de France), elle a donc pris l’initiative de mettre fin aux importations de bois exotiques, de favoriser les partenariats commerciaux avec des entreprises européennes écoresponsables et de proposer des alternatives.
Lesquelles ? Des essences de bois françaises telles que le Chêne, le Robinier, le Châtaignier, le Pin, le Mélèze ou le Douglas, ainsi que d’autres solutions techniques adaptées aux aménagements extérieurs en milieu marin. Un maître mot : la communication transparente sur les matériaux utilisés, les processus de production et les certifications.