L’installation du mobilier urbain doit respecter certaines règles. Premièrement, les éléments doivent être implantés en retrait suffisant des pistes afin de ne pas devenir des obstacles (bancs, potelets, barrières...). Ils doivent être installés régulièrement tout le long des parcours et positionnés de manière à être facilement identifiables par les cyclistes, sans gêner la visibilité en zones potentiellement à risque.

 

Règles suivantes : pour éviter d’éventuelles chutes ou accidents, le mobilier urbain sélectionné doit être fixé au sol. Et lorsque la piste est ouverte la nuit, il est important d’implanter un balisage lumineux sur les parcours et des éclairages plus adaptés aux intersections. 

Plusieurs types de mobiliers peuvent être installés : des assises, installées au niveau des points stratégiques et des sites remarquables, des bornes, assurant le repérage de l’itinéraire choisi, des corbeilles, pour des raisons évidentes de propreté urbaine, des barrières, pour interdire l’accès des pistes aux motos et aux voitures... Mais aussi, des panneaux d’information (cartes décrivant les différents itinéraires à emprunter), placés au départ et à l’arrivée des pistes. Sans oublier les appuis vélos, parfois à brider sur le mobilier existant (mâts de signalisation, potelets...). 

 

Tandis que certains appuis vélos sont en forme de ‘P’, d’autres présentent des lignes déstructurées à partir de tubes d’acier ronds ou carrés, ou tout en rondeur. Souvent aussi, un petit ‘vélo’ découpé au laser dans une plaque métallique orne les appuis vélos. Des ‘chapeaux’ en inox ou en aluminium couvrent également les mobiliers. Et toujours avec élégance et minimalisme.

 

Plusieurs fabricants proposent des appuis vélos : Univers&Cité, Croso France, Accenturba, Mix Urbain, Aréa...

 

Notons enfin la montée en puissance des abris vélos, des ‘boxs’ et autres solutions de stationnement sécurisées, protégeant les deux roues des intempéries et des vols. Exemples : Eko Logy de Guyon, Serra de Rondino...