Pour David Lemaire, secrétaire générale de la CNATP, "la volonté du gouvernement d'encourager la poursuite des travaux sur les chantiers tout en garantissant la sécurité des personnes semble totalement irréalisable. La CNATP exige que toutes les demandes d’activité partielle soient acceptées pendant cette période transitoire pour les entreprises qui ne pourront pas poursuivre leur activité et que les remboursements se fassent dans un délai qui ne pourra excéder 2 semaines. Il en va de la survie de nos entreprises ! Les chefs d’entreprises que nous représentons sont responsables et décideront de la poursuite ou non de l’activité selon leurs capacités, les moyens de leur entreprise et de leur environnement (chantiers, approvisionnement …) dans le strict respect de la sécurité de leurs salariés. "