Après l’installation d’une station de recharge et du fil périphérique enterré qui délimite la zone d’action des tondeuses robots, ces dernières doivent impérativement être configurées. Sous le capot de la machine : un boîtier numérique, à partir duquel le gestionnaire saisit ses propres réglages (fréquence de tonte, plages horaires…) pour que le robot se mette au travail !
Une fois paramétrée, la machine se lance sur les stades. Sur sa trajectoire, les sonars et les capteurs intégrés dans la machine détectent les obstacles (barrières périphériques, arbres...) et génèrent des réactions adaptées : réduction de vitesse, arrêt, changement de trajectoire. Si le robot constate le besoin d’alimenter ses batteries (en lithium-ion), il rejoint automatiquement sa station de recharge, reliée au réseau 230 V et installée en retrait de la zone de touche. Puis, le robot reprend la tonte de manière aléatoire après une période de charge de quelques heures selon les modèles. A noter : l’activité du robot peut être mémorisée dans le boîtier numérique, permettant ainsi des calculs de productivité.
En cas de soulèvement de la machine ou d’obstacles encastrés au niveau des couteaux, un contacteur interrompt instantanément la rotation des lames.